« Pourquoi Madeleine, du quartier France 45.67, se réveille-t-elle un matin, effrayée, en découvrant que ses mains sont devenues vertes ? Lui fait-on tester un nouveau jeu de réalité virtuelle, sans qu’elle le sache ? Car désormais c’est l’occupation principale, sur Terre : jouer ! La planète est devenue une ville infinie où tout travail a été aboli, maintenant que les machines s’occupent de tout. Pendant ce temps, de l’autre côté de la Terre, dans le quartier Japon 23.58, Ken se réveille aussi avec les mains vertes. Mais lui n’a pas peur, car il sait que les mains vertes donnent des pouvoirs… »
A première vu la couverture m’avait l’air attirante, le style japonais sûrement!
Pour passer à l’histoire en elle même, tout d’abord je dirais qu’il y a beaucoup d’actions peu importantes qui étaient trop détaillées. Avant de lire l’histoire je pensais que ces mains vertes serviraient à faire pousser des arbres, des plantes ou quelque chose dans le genre. Mais je m’étais trompée et leur utilité était plus excitante que ce à quoi je m’attendais!
Cette histoire de télépathie entre les deux adolescents et les Happa No Ko , leurs déplacements dans le temps et l’espace, le fait que des robots fassent tout le travail à la place des humains, c’est un peu une sorte de futur lointain pour nous.
Lorsque Ken est avec un des Happa No Ko et que des machines mettent le feu à sa maison , cela m’a fait penser à Kirikou lorsque les servants de Karaba font la même chose sur les maisons du village.
Je me suis toujours dit que si on pouvait aller dans le passé et changer ou déplacer ne serait-ce qu’une chose, cela aurait forcément un impact sur le futur. Du coup je ne suis pas tout à fait d’accord avec le passage où Ken et Madeleine sont dans le passé avec Jiji.
Passage du texte qui m’est resté en tête: « Vos faiblesses sont vos atouts et votre singularité, vos armes »!
J’ai bien aimé ce livre mais si je devais mettre une note je mettrais 5,5/10
J’ai trouvé que dans l’ensemble ce livre était bien mais l’action de l’histoire commence vers le milieu du livre ce qui donne l’impression que le début est ennuyant. Tout le début sert à nous donner le contexte et la situation mais il des informations qui nous seront pas forcément utiles pour la suite.
Par rapport à l’histoire, c’est bien que l’on puisse imaginer que ça devienne notre futur dans lequel les robots travaillent à la place des humains car l’histoire montre comment les gens vivent et comment ça se fini avec les robots. J’ai trouvé intéressant le fait que quand on regarde la couverture pour la première fois on ne comprenne pas puis qu’au fil de l’histoire on la comprenne de plus en plus.