79 thoughts on “Le photographe

  1. En règle générale je n’aime pas les bandes dessinées, j’ai tendance à préférer les romans. Cette bd est une sacrée exception ! Tout d’abord j’ai adoré ce mélange entre les photos et les dessins. Il y a énormément de photos qui m’ont plu, m’ont faites rire ou pas du tout, etc… J’ai remarqué que sur certaines photos il y avait comme de la peinture rouge vers les bords et je me demandais si c’était fait exprès.
    Ce que j’aime aussi c’est que c’est un reportage dans un autre pays et j’adore cette notion de photographier, filmer, raconter un voyage, son voyage c’est ce que fait l’auteur avec brio.
    Plusieurs passages m’ont marqué comme « dans l’Afghanistan rural, un homme qui n’a pas les moyens n’a pas de femme » ou « les pistes sont jalonnés de chevaux et d’ânes morts ». J’ai trouvé ça peut marrant.
    Il y en a un autre qui m’a marqué en bien « les vraies bonnes photos, il faut s’arracher les yeux pour les faire ». J’aime bien comment il l’a dit !
    Cette bd m’a fait penser à une autre bd nommée « Si je t’oublie Alexandrie » de Jérome Drés car c’est également un reportage dans un pays. La seule différence c’est qu’il parle de la religion juive contrairement à celle-ci qui parle plutôt de la religion musulmane. Il me fait également penser à un manga « la photographe » qui, elle, prend des photos dans un environnement différent et pour d’autres raisons.

    Tout ce que je retiendrais c’est que c’était une excellente bande dessinée ! 🙂

  2. En règle générale je n’aime pas les bandes dessinées, j’ai tendance à préférer les romans. Cette bd est une sacrée exception ! Tout d’abord j’ai adoré ce mélange entre les photos et les dessins. Il y a énormément de photos qui m’ont plu, m’ont faites rire ou pas du tout, etc… J’ai remarqué que sur certaines photos il y avait comme de la peinture rouge vers les bords et je me demandais si c’était fait exprès.
    Ce que j’aime aussi c’est que c’est un reportage dans un autre pays et j’adore cette notion de photographier, filmer, raconter un voyage, son voyage c’est ce que fait l’auteur avec brio.
    Plusieurs passages m’ont marqué comme « dans l’Afghanistan rural, un homme qui n’a pas les moyens n’a pas de femme » ou « les pistes sont jalonnés de chevaux et d’ânes morts ». J’ai trouvé ça peut marrant.
    Il y en a un autre qui m’a marqué en bien « les vraies bonnes photos, il faut s’arracher les yeux pour les faire ». J’aime bien comment il l’a dit !
    Cette bd m’a fait penser à une autre bd nommée « Si je t’oublie Alexandrie » de Jérome Drés car c’est également un reportage dans un pays. La seule différence c’est qu’il parle de la religion juive contrairement à celle-ci qui parle plutôt de la religion musulmane. Il me fait également penser à un manga « la photographe » qui, elle, prend des photos dans un environnement différent et pour d’autres raisons.
    Tout ce que je retiendrais c’est que c’était une excellente bande dessinée ! 🙂

  3. Alors, pour cette bande-dessinée, mon avis est plutôt positif, car l’idée qu’elle soit photographiée, je trouve ça complètement intelligent, car c’est rare pour une bande-dessinée, d’avoir de réelles photographies. Ça peut nous permettre de voir des paysages que l’on n’avait pas vu auparavant, ce qui rend cette BD jolie, et donc ce qui nous donne envie de la lire. En plus, ces photos sont incroyablement bien prises (au bon moment et au bon endroit surtout). Je trouve aussi que le lieu choisit pour ce livre est bien car pas beaucoup de monde se renseigne sur le Pakistan, ça nous fait découvrir des paysages, ce qui n’est pas souvent le cas pour les BD. L’histoire est bien car elle n’est pas clichée, car c’est rare de voir un très bon photographe aller au Pakistan, puis le fait qu’ils fassent un voyage, je trouve ça intéressant, en plus de voir des photos réelles. Donc, je trouve ce livre très beau dans tous les sens.

    SECQ Tristan (4ème4)

  4. Alors, pour cette bande-dessinée, mon avis est plutôt positif, car l’idée qu’elle soit photographiée, je trouve ça complètement intelligent, car c’est rare pour une bande-dessinée, d’avoir de réelles photographies. Ça peut nous permettre de voir des paysages que l’on n’avait pas vu auparavant, ce qui rend cette BD jolie, et donc ce qui nous donne envie de la lire. En plus, ces photos sont incroyablement bien prises (au bon moment et au bon endroit surtout). Je trouve aussi que le lieu choisit pour ce livre est bien car pas beaucoup de monde se renseigne sur le Pakistan, ça nous fait découvrir des paysages, ce qui n’est pas souvent le cas pour les BD. L’histoire est bien car elle n’est pas clichée, car c’est rare de voir un très bon photographe aller au Pakistan, puis le fait qu’ils fassent un voyage, je trouve ça intéressant, en plus de voir des photos réelles. Donc, je trouve ce livre très beau dans tous les sens.

    SECQ Tristan (4ème4)

  5. J’ai bien aimé cette BD même si je l’ai vraiment trouvé dur :

    C’est Une BD très originale, un véritable document journalistique, qui alterne entre photos et dessins, reconstituant ainsi le carnet de route d’un photographe-observateur et du travail de terrain d’une mission de Médecins sans Frontière en Afghanistan, durant le conflit contre les russes.
    A travers toutes ces images, cela nous montre la réalité d’une guerre. Malgré l’humour, il y a beaucoup d’images très dur à voir si l’on est sensible. Ce photographe arrive à saisir l’instant, la rigueur, la misère, la beauté et l’horreur dans ses photos tout comme dans ces dessins. Cette histoire nous fait découvrir des nouvelles coutumes et des paysages incroyables, un univers nouveau et totalement différent, avec des guerriers afghans, des villageois démunis qui peuvent parfois se montrer impitoyable.
    Voilà pourquoi j’ai quand même apprécié ce livre même si je ne pense pas lire des livre du même genre pour mon plaisir.

    ( cela ne fait pas 2à ligne mais je ne sais pas comment expliquer cette bd)

  6. Cette bande dessinée est vraiment originale dans sa présentation dans le fait qu’elle mêle photos prises par Didier et cases de bande dessinée.
    Je trouve que les deux se mélangent vraiment bien, elles sont complémentaires et donnent un coté vraiment plus réel à l’histoire, qui n’est absolument pas romancée.
    Pourtant elle est vraiment incroyable, on ne peut que ressortir de cette lecture béate d’admiration pour les équipes de MSF (médecins sans frontières).
    J’aime assez peu le dessin, bien qu’il s’incorpore plutôt bien dans l’ensemble.
    Le plus souvent il n’y a pas de décors. Mais ces cases dessinées sont plus là pour accompagner le texte, et combler les manques des photos finalement…
    En tout cas un reportage vraiment édifiant, et passionnant, sur ce qu’on vécut les équipes MSF en Afghanistan.
    Les personnages sont très attachants, les caractères assez détaillés
    Je trouve ça très original de présenter un reportage photographique sous forme de bande dessinée
    J’ai été frappé par cette aventure humaine ; je n’imaginais pas que des médecins et des infirmiers prenaient autant de temps et de risques pour préparer une mission humanitaire.
    Livre à découvrir !

  7. Critique Livre « Le Photographe »
    J’ai bien aimé le livre « Le Photographe » de Guibert, tout d’abord car il était bien illustré et agréable à lire. Ce que j’ai apprécié dans ce livre, c’est l’engagement qu’avaient les MSF (Médecins Sans Frontières). « Ces hommes et ces femmes qui tentent de réparer ce que d’autres détruisent ». Ce que j’ai apprécié, c’est que l’on suit son voyage du début jusqu’à qu’il arrive dans les zones de combat. Nous pouvons voir chaque étape de son périple grâce à ses photos. On a pu découvrir des populations différentes à chaque étape de son voyage. J’ai trouvé original le fait de faire ce reportage sous forme de bande dessinée. Le fait de mettre sous forme de bande dessinée rend la lecture moins lourde, sans pour autant diminuer l’aspect terrible et dramatique de la situation de ces pays. Ce qui est bien dans ce livre, c’est que l’on a l’impression de faire partie du voyage. J’ai trouvé que les MSF étaient particulièrement dévoués et investis. Par contre, ce qui m’a un peu choqué, c’est la façon dont ils traitent les animaux, et plus particulièrement les chevaux et les ânes pendant le voyage…
    Ce livre nous permet de nous rendre compte des condition de vie des réfugiés, mais aussi de la population pakistanaise.
    Pour résumer, ce livre nous a permis de voyager, mais aussi de nous rendre compte de comment étaient les conditions de vie au Pakistan et dans les pays alentours.

  8. Le photographe de Guibert

    La couverture de cet ouvrage est triste, les couleurs sont ternes. Cela ne donne pas trop envie de l’ouvrir.
    Ce livre est une Bande dessinée qui contient de nombreuses photos en noir et blanc. Les illustrations ne sont pas trop détaillées. La police des caractères n’est pas agréable à lire.
    Le résumé au dos de la BD est clair et donne un peu plus envie de le lire.
    Ces photographies nous amènent en Afghanistan.
    Il n’y a pas d’histoire comme dans un roman mais cela montre les différents moments vécus par l’équipe de Médecins Sans Frontière lors de cette mission.
    Les conditions de vie sont mauvaises. Ils sont en guerre.
    Les différentes séquences montrent de la maltraitance autant envers les hommes qu’envers les animaux. On voit que les chevaux et les ânes qui leurs sont nécessaires souffrent énormément.

  9. Didier a laissé l’équipe MSF derrière lui et il rentre au Pakistan seul, avec une petite escorte. « J’ai la sensation agréable d’être aux commandes de mon voyage. » (p. 6) Mais ce retour est lent, poussif et déprimant. « Je continue, presque malgré moi, à prendre les photos d’un reportage déjà fini. » (p. 32) Les quatre hommes chargés de l’escorter finissent par l’abandonner quelque part en bas d’un col. Seul avec son cheval, perdu en pleine montagne par des températures glaciales, Didier fait l’expérience de la solitude et de la folie. Miraculeusement ramassé par une caravane, Didier poursuit un périple éprouvant avec des escrocs qui le dépouillent lentement. le retour au Pakistan est finalement bien loin d’être l’expérience exaltante que le photographe espérait. Mais il ne regrette rien. « Je pense au meilleur et au pire de ce que je viens de vivre en Afghanistan. Et je réalise une chose : j’ai envie d’y retourner. » (p. 94)

    Cet album en solitaire présente de superbes photos en noir et blanc, en pleine page. Au terme de sa mission, Didier aura réalisé 130 pellicules. Il n’a qu’une hâte, celle de rentrer en France pour découvrir enfin ce que les films ont à révéler. Au terme de ce dernier album et en conclusion de cette expérience époustouflante, tous les participants de cette aventure ont droit à un bref portrait. C’est un bel hommage final à des médecins qui ont fait de l’abnégation leur credo, à des Afghans qui participent à leur façon au jihad et à des êtres courageux qui n’attendent pas le flash des appareils pour briller et faire rayonner la paix et la fraternité.

    Ce récit de voyage en trois volumes est une belle réussite artistique, entre photographie et bande dessinée. C’est également l’illustration d’une charité qui dépasse les frontières, les religions et les guerres. Il ne s’agit pas de lisser les différences, mais de les honorer pour mieux les respecter. de l’objectif à la plume, l’hommage est courageux et émouvant.

    J’ai trouvé que ce livre était très bien illustré et que ce livre nous faisait voyager avec le personnage on a l’impression d’être le personnage et ce qui permet de mieux comprendre l’histoire comme si on la vivait, et le seule point négatif qui était le fait d’avoir deux fois les même photographie, une étant illustré et l’autre pris avec un appareil photo.
    Né en moins cela reste un très beau livre et avec une très belle histoire .

  10. Le photographe est une bande dessinée qui raconte le périple d’une mission en 1986 de Médecin Sans Frontière en Afghanistan, vu par un photographe. Pour ne pas se faire remarquer il va devoir se faire pousser la barbe, changer de vêtements ou encore apprendre la langue.
    Le groupe de MSF risque leurs vies en allant en Afghanistan, pays en guerre et les conditions du trajets sont difficiles et très dangereuses.
    Il y a un mélange de photos en noir et blanc et de dessins ce qui rend le récit plus réaliste. Les photos permettent de montrer la réalité. Il y a beaucoup de couleurs jaune, marron et vert ce qui me fait penser au désert et à la nuit, on peut confondre les dessins et les photos.
    Manon DELAS 4°4

  11. J’ai bien aimé ce livre, car j’ai trouvé qu’il était très bien réalisé. L’histoire était toute simple, parfaite au début ; Didier Lefèvre part en mission comme photographe en Afghanistan avec MSF (Médecins Sans Frontières). Puis lorsque l’on avance dans l’histoire, le voyage se corse de plus en plus. Son équipe le laisse tomber, il se fait dépouiller mais réussit tout de même à arriver. Il alterne entre photographies et dessins mais nous permet surtout de voir toutes ces femmes et ces enfants qui n’ont rien à faire en plein milieu de cette guerre. En regardant toutes ces photos et ces dessins on remarque qu’il y avait un paysage magnifique et que la paix et la générosité est partout autour d’eux. Tout le monde admire les photographes, les médecins, les infirmiers, les journalistes qui viennent en aide à ces gens. Une phrase qu’il avait écrit dans son carnet m’a marqué : « Je pense au meilleur et au pire de ce que je viens de vivre en Afghanistan. Et je réalise une chose : j’ai envie d’y retourner. ». Je trouve que ce livre nous permet de comprendre et de réaliser ce qui se passe dans certains pays/villes tout en splendeur avec les dessins et les photographies.

  12. Le livre « Le Photographe » est un livre intéressant ,il raconte la vraie vie ,quand il faut quitter son pays a cause de la guerre. Je trouve ce livre enrichissant car il montre la dureté des trajets pour partir de son pays ,mais aussi la dureté pour les animaux car quand ils sont trop fatiguer ils les laissent en cours de route. Ce que je trouve bien aussi c’est quand le photographe et les autres personnes passent dans des petits villages ils les aides d’une façon ou d’une autre. J’ai donc bien aimé ce livre, j’ai aimé le fait que l’auteur mette une partie BD mais également des photos de la réalité d’ou le nom « Le Photographe ». C’est donc un un livre que j’ai apprécié car il nous montre la dureté de la vie , que la vie n’est pas pareil partout . C’est le cas en Afghanistan dans le livre, la vie est plus dure .

  13. J’ai adoré le concept de mélanger des photos et des images ensembles, cela a rendu l’intérieur de la BD beaucoup plus original et captivant à mon goût.
    Au début je n’aimais pas trop l’histoire mais au fur et à mesure j’ai commencé à l’apprécier, plus particulièrement au moment où ils partent pour l’Afghanistan. Cette BD m’a permise de découvrir de nouvelles cultures, des modes de vie différents, le métier de médecin sans frontières, des paysages étrangers et la vie pendant la guerre. De plus, les photos donnent l’impression de vivre le long et difficile voyage des personnages.
    Il y avait des citations comme celle-là dont je me souviens et qui m’avaient plu :
    « Pour un Afghan, un chef, c’est quelqu’un de fort. Une femme ne peut être chef. Pourtant, ils ont tous compris que c’est Juliette qui commande. »
    Au final, je crois que j’ai vraiment aimé cette BD.

  14. Je n’ai pas aimé ce livre car je l’ai trouvé ennuyeux, ça m’a fait penser à un reportage, ce qui m’a ennuyé. Je pensais qu’il y aller avoir plus d’action . Par contre j’ai bien aimé le fait que se soit sous format bande dessinée car ça devient quand même plus court et plus facile à lire. J’aime bien aussi le fait que se soit une histoire vraie et le fait d’avoir des photos rajoute encore plus de réalisme au livre. D’ailleurs quelques photos sont barrée d’une croix rouge sang.J’ aimerais bien savoir pourquoi certaine photos sont barrés avec ce que je pense être du sang . Je n’ai pas aimé la fin qui se termine d’un coup. Ce n’est pas vraiment la fin vu qu’il y a une deuxième partie à ce livre, mais je pensais vraiment qu’il aller faire une meilleure fin. Avec du suspense par exemple.

  15. J’ai bien aimer car c’est une bande dessiner et j’adore ce qu’il a fait , mettre de vrais photo dans le livre c’est du génie , faire un livre sur son voyage (et métier) et mettre dans le livre les photos qu’il a pris et le reste en dessin c’est cool ce qu’il a fait. Ce que j’ai aussi aimer c’est que c’est son métier la photographie . Ce que je n’ai pas aimer c’est qu’il précise les chose inutile par exemple au début du livre il précise l’entre d’une maison donc il fait des vignette pour rien et c’est très long a lire . Mais il ne ce met pas que lui en lumière,mais aussi c’est amies qui ont fait le livre (Emmanuel Gilbert ,Didier Lefèvre et Frédéric Lemercier).

  16. J’ai bien aimé ce livre car il raconte une ascension dans un pays qu’on ne connait pas, ce qui nous apprend des paysages différents et presque interdit car peu de gens vont au Pakistan et en Afghanistan. Nous nous rendons compte que derrière la guerre il y a des paysages magnifiques. Dans ce livre il y a de l’humour et le fait qu’il y a un lien entre les dessins, le texte et les photographies est très intéressent car il nous décris le personnage puis nous le voyons en photo ce qui facilite l’immersion dans l’histoire.

  17. J’ai beaucoup aimé ce livre car j’ai trouvé qu’il était beau, ça parle de la guerre : j’ai trouvé ça intéressant. J’ai aussi beaucoup aimé car ça parlait de photographie et les photos du livres étaient jolies. Il était pas très long à lire. Ça montrer à quel point la vie était dur surtout en temps de guerre. J’ai aussi beaucoup aimé les dessins et l’histoire m’a plus.
    Conclusion: j’ai beaucoup aimé ce livre, je l’ai trouvé très intéressant.

  18. Je trouve que c’est original de présenter un reportage photographique sous forme de bande dessinée !Il s’agit de l’histoire d’un reporter photo qui se passe pendant la guerre d’Afghanistan. Ce n’est absolument pas romancé, c’est du reportage pur et dur, sans concessions, et justement, le choix de le mettre en bande dessinée rend la lecture moins lourde, moins grave sans pour autant diminuer l’aspect terrible et dramatique de la situation de ce pays. C’est une histoire sans héros, qui raconte juste le quotidien de ces missions. J’ai bien aimé cette BD qui n’est pas récente car elle est apparue il y a environ 17 ans. Je trouve le quotidien de ces hommes importants et intéressent.J’ai bien aimé la culture que découvrait ces « hommes » pendant leur reportage.

  19. Bonjour voici mon ressentit suite à ma lecture du photographe :

    j’ai adoré ce mélange de photos réelles comme si c’était un reportage et de dessins comme dans une bande dessinée.
    Il raconte des anecdotes qui sont arrivées aux auteurs, cela donne l’impression de faire partie de leur histoire.
    On ressent l’intensité du voyage et de l’aventure qu’ils ont traversé.
    C’est une histoire vraie.
    Il y a de l’émotion, des moments forts, des photos chocs.
    J’ai appris à travers ce livre l’histoire d’un pays et d’un peuple qui a beaucoup souffert et qui s’est beaucoup battu pour sa liberté et son indépendance.
    Juste une chose que je regrette est l’absence de traduction de certaines expressions en langue arabe.

    Conclusion : j’ai bien apprécié le livre. Je conseille ce livre.

  20. Au début du livre, je vois les premières images et photos, je me suis dis que si cela allait être un livre avec des photos en noires et blanc et des dessins qui ne sont pas dans mon style, je n’aillais pas trop l’apprécier. Mais je vois qu’il n’y a pas trop de texte et qu’il y a seulement 80 pages. Ca va! Au début on découvre un photographe qui part en expédition. Il arrive en Afghanistan pour le début de son périple. J’ai hâte de savoir la suite. On apprend qu’il doit traverser beaucoup de montagnes et que cela va être physique. Du coup le concept: photo+bande dessiné est pas mal finalement même si de temps en temps je ne comprends pas les photos car elles sont en noires et blanc. j’ai appris que l’histoire se passait de 1986 à 2002 grâce à la première page. Je n’aime pas les dessins car ils sont peu détaillés et le fond est souvent uni. Aussi, il y a beaucoup de vulgarité. Leur aventure se passe bien même si tout le monde est à bout de force, il y a des médecins qui analysent les membres de l’expédition. Le photographe continue à prendre de belles photos. Des fois, il dit qu’il a trouvé la photo parfaite, c’est vraie qu’elles sont très jolies quand elles sont sut une demie page (notamment celle sur la page 74). arrivé à la dernière page je me suis demandé: pourquoi leur expédition n’est pas terminée? Pourquoi le livre se termine en plein milieu des montagnes? Je me rendis alors compte que c’était juste la première partie de l’histoire. C’est bien je trouve de diviser l’histoire en plusieurs partie pour 3 raisons:
    -Les livres sont moins longs, on est donc moins impressionné.
    -Cela fait plus d’argent car il faut acheter plusieurs livres différents.
    -Cela crée plus de suspense.

  21. CRITIQUE « LE PHOTOGRAPHE »
    Ce roman mélange du texte, des photographies et des dessins et relate 8 expéditions de Didier Lefèvre, photographe en Afghanistan auprès de Médecins Sans Frontières entre 1986 et 2002, pendant l’occupation Russe.
    J’ai particulièrement aimé les photos qui sont très belles, elles m’ont fait découvrir l’Afghanistan où la guerre faisait rage. Certaines photos sont choquantes car elles montrent l’immense pauvreté, la destruction de la guerre et malgré cela on sent que les Afghans sont accueillants. Dans ce pays, la technologie n’est pas omniprésente comme chez nous, les conditions de vie sont très rudes et les habitants ont l’air solidaire, dans l’entraide.
    La condition de la femme dans ce pays est absolument désastreuse, elles sont réduites à l’état d’esclave. Le niqab que doivent porter les adolescentes et les femmes, même si elles ne sont pas d’accord, sert à détruire leur individualité afin qu’elles ne puissent pas penser différemment que ce que la société patriarcale leur dicte. Les photos sont plus frappantes que les dessins car on peut davantage s’identifier aux personnes et le travail du photographe reporter est de nous faire réaliser les conditions de vie dans les pays sous-développés, sous une domination dictatoriale qui engendre la pauvreté et dans ce cas-là en plus, la guerre par l’invasion des Russes.
    Le principe de la dictature est de cacher la vérité et sans la présence de photographes, de journalistes et des personnels soignants humanitaires, les véritables conditions de vie ne seraient connues du monde entier.

  22. Le photographe de Lefèvre\Lemercier

    J’ai bien apprécié le livre car l’histoire est originale,ce n’est pas un type de livre que j’ai l’habitude de lire ou même de voir en film.Par contre je n’ai pas trop aimé les graphismes car je les ai trouvés trop simplet, il n’y avait pas assez de détails comparé aux photos, mais ils apportent les dialogues et les photos apportent la réalités et les détails même si j’aurais préféré qu’elles soient en couleur. Malheureusement ce n’était pas le cas.:(
    Il y a aussi le type d’écriture que je n’ai pas apprécié car on n’aurait dit que c’était écrit à la main ,du coup des fois j’ai eu du mal à lire.Au départ j’étais médisant en feuilletant le livre car il y avait des photos et des dessins ,donc je pensais qu’il n’allait pas être bien mais au final j’ai bien aimé. Les images étaient belles, on voit le parcours de la caravane (même si parfois je me suis perdu avec les noms des villes, des personnages et dans le trajet) leurs mésaventures et le temps de préparation. Puis surtout l’auteur explique bien pourquoi ils font les choses, qui s’en occupe. Chacun a son rôle dans l’histoire. Rien est mis ou placé au hasard tout est programmé à l’avance même l’alliance avec le trafiquant Aider Shah.Je trouve quand même effarant de faire des alliances avec des brigands pour pouvoir soigner des personnes victimes de guerre ou de manque de moyen ,c’est triste d’en arriver à ce point pour faire des bonnes actions mais au final ils ont quand même réussi .Je trouve ça génial que des personnes prennent des risques pour aider les autres (gentils ou pas). Il y a juste le moment de préparations qui était un peu long et il y a certains mots en arabe qui ne sont pas traduits c’est un peu embêtant mais sinon le livre est assez facile à comprendre et les images sont magnifiques.En tout cas j’ai pris plaisir à le lire mise à part que ça finit sur une tombe c’est un peu énervant.

  23. Dans l’ensemble j’ai beaucoup aimé cette BD, contrairement à ce que je pensais avant de la lire. En lisant le résumé je n’avais rien compris et le sujet ne m’intéressait pas vraiment. Cependant, le fait que ce soit tiré d’une histoire vraie ne me déplaisait pas.
    J’ai été surprise qu’il y ait des photos à la place de quelques illustrations. J’avais plus l’impression de lire un témoignage qu’une histoire et je ne trouvais pas cette BD passionnante.
    Cette BD me fait penser au livre « Une poignée d’étoiles » ( je pense que c’était le but recherché ) car les deux se passent dans des pays similaires et parlent de politique et de journalisme. J’ai aussi remarqué qu’ils avaient la même radio : BBC.
    Au début je n’avais pas compris quel était le but de leur expédition. Maintenant, je trouve ça super que des gens mettent leur vie en danger pour soigner et sauver celle des autres.
    Petit bémol, je me suis emmêlée les pinceaux avec tous les noms compliqués de villes.
    Finalement j’ai beaucoup aimé cette BD. Je pense qu’il faut juste comprendre le sens qu’a voulu donner l’auteur à cette BD pour l’apprécier. Au début, j’attendais qu’il se passe quelque chose, un élément déclencheur. Puis, je me suis vite rendu compte qu’il n’y en aurait pas. C’est là que j’ai compris qu’il ne s’agissait pas d’une BD d’aventure mais d’un reportage. Ca m’a tout de suite plus intéressée.

  24. J’ai beaucoup apprécié « Le photographe ». J’ai trouvé les personnages attachants et drôles, je les trouve surtout respectable et courageux. Les photo en noir et blanc qui se mêle aux dessins nous permette de voir tous les détailles. Et les couleurs chaudes des dessins permette d’alléger l’histoire. « Le photographe » nous fait découvrir ce qui se passe à l’intérieur des pays en guerre. On apprends aussi que dans ses pays les marques de respect son importante.

  25. Je recommande cette BD , elle est facile à comprendre. J’aime beaucoup comment l’histoire a été écrite et racontée. Les dessins complètent bien les photos. J’ai été choqué du moment où l’on voit des chevaux qui sont laissés pour mort et aussi les moments où ils poussaient les ânes pour les faire avancer. Les médecins sont très courageux de faire toute cette route qui est longue à cause de la guerre, tout en assurant les opérations. La fin du livre est un moment triste car ils se recueillent sur la tombe. En conclusion cette BD est une belle oeuvre qui est très bien illustré.

  26. Ce livre parle d’un photographe habitant à Paris qui décide de partir vivre en Afghanistan, faire un reportage sur la guerre et ses répercutions sur les habitants du pays. Il part avec une équipe de mission humanitaire, ensemble ils vont traversé plusieurs frontières, col et terrain de guerre pour soigné et sauvé tout ceux qu’ils croiseront sur leur chemin. Ce livre nous montre que des personnes sont prêtent à risquer leur vie pour sauver des inconnus, malgré la barrière de la langue et le pays la plus-part d’entre inconnue, ils n’hésitent tout de même pas à traversé des zones de guerre, pour secourir les habitants des villages aux alentours. Le livre est très intéressant de part l’histoire qu’il raconte, mais aussi par ses illustrations qui sont à la fois des dessins et des photographies, prise par le héros de l’histoire. Je trouve ses photos très intéressantes sachant qu’elle représente la réalité des choses, et non un montage réaliser devant un font vert à l’abri de la réalité. Je trouve la photo page 74 sur un lac avec un âne magnifique.

  27. J’ai lu Le Photographe de Emmanuel Guibert, Didier Lefèvre et Frédéric Lemercier
    Ce livre est une BD documentaire qui est paru chez Dupuis entre 2003 et 2006.
    Ce livre raconte l’histoire d’un photographe qui quitte paris en 1986 pour rejoindre une équipe de médecins sans frontières au. Il raconte son aventure à travers ses photographies.
    Ce livre qui intègre des vraies photographies à des dessins apporte une touche réaliste dans ce récit poignant et profondément humain sur la guerre entre les soviétiques et Moudjahidin. De plus on pourrait se croire dans un film donc on arrive plus facilement à comprendre l’histoire, et ça donne une touche originale.
    L’histoire est plus tôt bien expliquer, l’auteur a su rédiger l’histoire sans en faire trop.
    Néanmoins je n’aime pas le type de calligraphie du texte, je trouve que c’est difficile de comprendre les lettres.
    Globalement ce livre est bien réaliser mais il ne m’a pas pour autant plu, alors je pense que le film est plus intéressent pour moi.

  28. Le photographe

    Le photographe est un livre assez original grace au mélange entre les illustrations et les photos qui nous permettent de nous plonger encore plus facilement dans l’histoire et de nous emmener ailleurs. Ce qui m’a plus c’est que ce n’est pas une simple BD, c’est un véritable documentaire (journal) qui retrace la route d’un photographe de terrain durant une mission humanitaire en Afghanistan. J’ai beaucoup apprécié le fait que le livre colle avec la réalité, il nous permet de découvrir d’autres cultures.j’ai été étonné de voir que le livre avait été conçu par trois personnes, j’avais déjà vu deux mais trois jamais, je suis très admiratrice de ce travail. Pour finir le livre nous fait ressentir beaucoup d’émotions, la peur, l’angoisse, le suspence, la joie… Par contre j’aurais aimé que la fin de la mission humanitaire soit dans le même tome.

  29. Le photographe est une bande dessinée avec comme particularité d’avoir la moitier des image sous photographies ce qui donne a cette BD une chose original.
    Dans le photographe je n’est ressentie aucune émotion parce que il ne se passait rien d’intéressant, et je n’est pas compris l’histoire donc pour moi c’est une mauvaise BD.
    Mais sinon les dessin sont bien fait les photo son propre et les texte sont en rapports avec les image.

  30. J’ai adoré ce livre sur la forme car il est différent / original. L’auteur a mélangé deux styles : la bande-annonce et le roman photo. Il y a un contraste entre les dessins en couleurs non détaillés et les photos sont détaillées mais elles sont en noir et blanc. Les photos apportent de la réalités et les dessins apportent de la fiction. Au travers de ce reportage, l’auteur voulait montrer la trace de la guerre, ainsi, les dessins ne sont pas détaillés et l’œil se concentre sur les texte. Il a aussi rajouté des photos car son métier est : photographe. Son but est d’expliquer son parcours, il voulait exprimer les ressentit des personnes qui vont faire la guerre. C’est une histoire invraisemblable ! J’ai bien aimé le fait qu’il n’y ai aucune répétition et qu’il n’a pas déformé les ressentit des personnes de son groupe. C’est dommage que l’auteur n’est pas approfondi sa recherche sur la photo de la première de couverture. Selon moi, il aurait dû mettre son titre en plus gros.

  31. Le photographe

    Le photographe est un livre assez original grace au mélange entre les illustrations et les photos qui nous permettent de nous plonger encore plus facilement dans l’histoire et de nous emmener ailleurs. Ce qui m’a plus c’est que ce n’est pas une simple BD, c’est un véritable documentaire ( journal ) qui retrace la route d’un photographe de terrain durant une mission humanitaire en Afghanistan. J’ai beaucoup apprecié le fait que ce livre colle avec la réalité, il nous permet de découvrir d’autres cultures. J’ai été étonné de voir que le livre avait été conçu par trois personnes, j’avais déjà vu deux mais jamis trois, je suis très admiratrice de leur travail. Pour finir le livre transmet beaucoup d’émotions, la peur, l’angoisse, la joie, le suspence… Par contre j’aurais aimé voir la fin de la mission humanitaire dans ce tome.

  32. J’ai pas top aimé ce livre car je n’ai pas bien compris pourquoi ils vont là bas et où ils doivent aller. Mais j’ai bien aimé la façon dont il est écrit. Le fait qu’il y ai l’histoire en BD et les photos prisent par Ahmad rendent l’histoire plus réaliste. Je trouve que c’est horrible ce que les Afghans font aux chevaux. Ils bichonnent les chevaux de Bozkachi alors qu’ils maltraitent les chevaux de caravane. Ça ma fais penser à l’inégalité qu’il y a entre les hommes. Après avoir lu le livre, j’imagine que ça doit être dangereux de faire le métier de photojournaliste, car comme dans l’histoire ils peuvent aller dans des pays en guerre et se faire kidnapper ou même tuer.

  33. Critique du livre « Le photographe  »

    Ce est un livre très intéressant. Ce livre m’a beaucoup fait relativiser, il m’a fait prendre conscience de la dureté de la vie. Je pense que je ne m’en rendait pas assez compte. Ce livre nous remet les pieds sur terre.
    Ce livre est très réaliste, notamment grâce à ces nombreuses photos, et malheureusement ce qu’il se passait il y a 40 ans environ en Afghanistan se produit encore aujourd’hui, comme par exemple en Libye ou encore au Yémen. Le livre « Le photographe » nous montre la souffrance des gens qui doivent quitter leur pays, lu dureté de leur trajet jusqu’à un autre pays pour se réfugier. Pour peut être en plus ne pas être accepté ou rejeté. Ces gens qui rêvent d’une seule chose : vivre dans un endroit sans guerre, connaître le bonheur. Ces femmes et ces enfants qui attendent impatiemment leur mari/père et qui ne savent pas si ils le reverront, ça me touche beaucoup.
    Au début je ne pensais pas du tout qu’il y allait avoir autant de photos et d’illustrations, dont je suis très admiratif du travail de l’auteur, avec ce mélange de photos et d’illustrations très bien dessinées. Ce mélange nous fait mieux comprendre l’histoire.
    Après ce livre, une phrase m’est beaucoup resté en tête : « Je pense au meilleur et au pire de ce que je viens de vivre en Afghanistan. Et je réalise une chose : j’ai envie d’y retourner. » Cette phrase est très forte, malgré la dureté du voyage qu’il a enduré, il veut quand même y retourner.
    Cette guerre me rappelé une phrase que mon père m’avait dite : « Ils y a des gens qui construisent, il y a des gens qui profitent et il y a des gens qui DÉTRUISENT « . Ces gens devrait avoir honte.

    Après ce livre, je retiens que la vie n’est pas pareil partout et qu’il faut en prendre conscience et profiter de la vie dans laquelle on vit.

    J’ai beaucoup aimé ce livre et je salue le travail de l’auteur. C’est un magnifique livre.

  34. C’est sorte de documentaire, généralement les ados ne regardent pas ou ne lise pas de documentaire et le fait que le récit soit raconter sous forme de bd va permettre de nous facilite la compréhension et le fait qu’il y ait des photos est intéressant car on peut voire ce qu’il se passe réellement. On a aussi l’impression que le « photographe »nous parle directement ou sinon on a l’impression de lire son journal. Aussi le fait qu’il y est des photos nous montre la réalité : les maladies, les conditions de vie, la guerre… L’histoire est intéressante mais ce n’est pas ce que je lit d’habitude la il n’y a pas de crimes à ressoudes ni de super-pouvoirs la on lit juste comment l’equipe des Médecins sans frontière qui malheureusement parfois n’arrive pas à sauver les gens mais on les voie aussi prêt a risquer leurs vies pour aider les les autres. On a la le pont de vue du photographe et ses pensées d’ou le fait ou j’ai l’impression de lire son journal, J’ai bien aimer mais je ne chercherais pas lire la deuxième partie. c’est avant tout l’expérience d’une vie ducoup je ne peux pas dire si j’ai aimer ou pas mais comme je l’ai déjà dit c’est intéressant surtout que cette guerre marque l’histoire.

  35. C’est un mélange entre la bande dessinée et la photo. Cette bande dessinée est vraiment originale , je trouve que les deux se mélangent vraiment bien , elle sont complémentaires et donnent un cotés plus réelle à l’histoire . C’est une histoire vraie , elle est racontée et vécue par Didier le photographe. Au cours du trajet, de son aventure Didier va nous faire partager à travers ses photos : des montagnes , des blessés , des carcasses , la douleur , de la peur, des Afghans qui quittent la zone de guerre… On découvre le travail quotidien des membres de l’équipe de Médecins Sans Frontières , de leur immense courage , de leur force mental, de l’amour qu’ils portent à ces gens qui subissent la guerre.
    J’ai remarqué que sur certaines photos, il y avait un encadré rouge ou des photos barrés. Pourquoi? Le photographe a gardé toutes les les négatifs…

  36. Pour ma part j’ai trouvé ce livre (ou plutôt BD) plus facile à lire que « Une Poignée d’étoiles ».
    Ce n’est pas une BD comme les autres car la elle possède beaucoup de vrais photographies. C’est d’ailleurs la chose qui m’a plu le plus sur cette BD. Cela m’a d’ailleurs permis de découvrir des paysages que je ne pensait jamais voir dans une BD et le métier de photographe. Par amour de leurs métier, certains sont capables de risquer leurs vies en allant dans des pays en guerres afin de nous faire parvenir des images réels de ce qu’il se passe.
    Cette BD arrive à se démarquer avec son utilisation de vrais photos.

  37. Le concept d’une bande dessinee est genial . On suit un photographe tout le long d’une aventure et je trouve ca sympas . Avec des vrais images , images de bande dessinees etc je troue ca top . Apres lea bande dessinnee est pas trop long c’est un autre point possitif . j’ai cree un resume a propos de la bande dessinee LE PHOTOGRAPHE : Un photographe appeler John vient prendre des photos d’un pays d’Orient l’ Afghanistan en pleine guerre entre les soviétiques et les Moudjahidin . John et plein d’habitant d’Afghanistan partent au plateau immense et nu .

  38. Le photographe raconte la vie d’un groupe de personne en route pour une mission humanitaire en Afghanistan.
    Le photographe (le héros) accompagne des médecins qui sont en route pour soigner les habitants des villages qu’ils vont rencontrer, quant au photographe il est là pour prendre des photos (logique) de la mission humanitaire. Au cours de leurs voyage ils vont rencontrer différentes personnes certaines seront de grande sagesse et de confiance et d’autres pourrait se révéler être nocifs pour la mission. Il faut aussi savoir que leur mission n’est pas approuver par les soviétiques (ils agissent en clandestinité).
    Pour ce livre, cela va peut-être sembler bizarre mais je ne vais pas juger l’histoire car ce livre est réelle et raconte la mission humanitaire de vrais humains. Juger la vie de quelqu’un d’autre ne se fait pas ce n’est donc pas ce que je vais faire, je vais juste donner mon avis sur la structure du livre et le fait dont le livre est raconter. On s’attache vraiment bien aux personnages et l’histoire est bien raconté (on s’y croirait grâce aux photos). Je ne sais pas si la façon de l’Histoire est raconter est en accord avec la vrai vie mais ce que je sais c’est que l’histoire est très bien raconter.

  39. Avis sur la BD « le photographe »

    Je savais que cette BD allait me plaire car je suis un fan de bande dessinée.
    Même si celle-ci, est un peu différente de celles que j’ai pu lire auparavant, j’ai beaucoup apprécié ce mélange qui met en relation les dessins et les photos en noir et blanc.
    J’ai appris de nouvelles choses dans cette bd comme: les missions des Medecins sans frontières »(ils mettent leur vie en péril), comment se passait la guerre en Afghanistan, comment l’équipe MSF devait se préparer pour aller aider les personnes en difficultés…
    Je trouve que c’est courageux de la part de ce photographe d’avoir fait cette expédition sans trop connaitre ce qui aller vraiment se passer.
    Et grâce à lui, on peut mieux se rendre compte de ce qui s’est vraiment passé pendant cette guerre en Afghanistan.
    Cela m’a rendu triste de voir tout ce que ces gens ont du subir, des conditions de vie difficile, des douleurs, de la peine et de la souffrance…comme dans le passage p54 où la mère de famille se fait opérer d’un cancer en urgence…..

    Donc même à travers une bd,on peut apprendre et voir pleins de nouvelles choses intéressantes et relativiser .
    Car nous, nous vivons bien.
    Vivement la suite de la deuxiàme partie.

  40. Critique le Photographe :

    Cette BD est assez intéressante car elle explique la vie en Afghanistan sur les trajets de la guerre et la façon dont Ahmad (Didier Lefèvre) intervient auprès des Médecins Sans Frontières (MSF) pour sa première grande mission photographique.
    Ce livre retrace bien la culture et la façon de vivre et de parler des afghans. Lorsque Ahmad traverse la Montagne-Frontière « Dewana Baba » entre le Pakistan et l’Afghanistan avec les MSF, il découvre vraiment la vie dans les montagnes et notamment plusieurs corps d’animaux morts (ânes, chevaux…). C’est ce qui m’a choqué le plus. J’ai trouvé qu’Il y avait des inégalités dans le traitement des chevaux (les chevaux de Bozkachi sont bien traités tandis que ceux des caravanes sont maltraités).
    Cette Bande-Dessinée est vraiment originale car il y a un mélange de réelles photographies prisent par Didier Lefèvre ainsi que des dessins de Bande-Dessinée d’Emmanuel Guibert et Frédéric Lemercier.
    Comme ce livre est présenté sous forme de BD, cela me semble incroyable que ce soit une histoire vraie. Cela m’a permis de mieux comprendre ce qui se passe dans ces pays en guerre.

  41. J’ai vraiment apprécier cette BD. Je n’ai pas vu les heures passait tellement le livre était captivant. Durant ma lecture, j’ai fait beaucoup de liens entre les passages. J’ai même était surprise que cela me plaise autant. Je l’ai conseillé a plusieurs personne de mon entourage 🙂
    Les auteurs ont vraiment fait un super boulot !
    Ce concept de bandes-dessinées est hyper original.
    Contrairement a une poignées d’étoile, j’ai tout de suite accrocher avec l’histoire.

  42. Excellente critique! Travail d’une grande qualité : bravo la Quarantenaire!

  43. Ta critique s’appuie beaucoup trop sur celle d’une personne de ce site (https://www.babelio.com/livres/Guibert-Le-photographe-Integrale/210272/critiques) : »tynn
    tynn 23 janvier 2014

    Une BD très originale, un véritable document journalistique, qui alterne photos et dessins, reconstituant ainsi le carnet de route d’un photographe-observateur du travail de terrain d’une mission de Médecins sans Frontière en Afghanistan, durant le conflit contre les russes. »
    C’est dommage!

  44. Ta critique s’appuie trop sur d’autres critiques d’internautes comme celle-ci de Bidibul, publiée en février 2005 sur ce site http://www.coinbd.com/series-bd/le-photographe/tome-1/ :  » j’ai été frappé par cette aventure humaine ; je n’imaginais pas que des médecins et des infirmiers prenaient autant de temps et de risques pour préparer une mission humanitaire.
    Comme tu le vois tu aurais pu au moins faire les accords au féminin.
    Je suis sûre que tu aurais plus de choses à dire dans un avis personnel.

  45. Très bonne critique! Bon travail !

  46. Critique correcte. Mais globalement quel est ton avis?

  47. Cette critique ressemble beaucoup trop à une critique d’internautes de ce site https://www.babelio.com/livres/Guibert-Le-Photographe-tome-3/220453 : « LiliGalipette
    LiliGalipette 22 mai 2012

    Didier a laissé l’équipe MSF derrière lui et il rentre au Pakistan seul, avec une petite escorte. « J’ai la sensation agréable d’être aux commandes de mon voyage. » (p. 6) Mais ce retour est lent, poussif et déprimant. « Je continue, presque malgré moi, à prendre les photos d’un reportage déjà fini. » (p. 32) Les quatre hommes chargés de l’escorter finissent par l’abandonner quelque part en bas d’un col. Seul avec son cheval, perdu en pleine montagne par des températures glaciales, Didier fait l’expérience de la solitude et de la folie. Miraculeusement ramassé par une caravane, Didier poursuit un périple éprouvant avec des escrocs qui le dépouillent lentement. le retour au Pakistan est finalement bien loin d’être l’expérience exaltante que le photographe espérait. Mais il ne regrette rien. « Je pense au meilleur et au pire de ce que je viens de vivre en Afghanistan. Et je réalise une chose : j’ai envie d’y retourner. » (p. 94)
    Cet album en solitaire présente de superbes photos en noir et blanc, en pleine page. Au terme de sa mission, Didier aura réalisé 130 pellicules. Il n’a qu’une hâte, celle de rentrer en France pour découvrir enfin ce que les films ont à révéler. Au terme de ce dernier album et en conclusion de cette expérience époustouflante, tous les participants de cette aventure ont droit à un bref portrait. C’est un bel hommage final à des médecins qui ont fait de l’abnégation leur credo, à des Afghans qui participent à leur façon au jihad et à des êtres courageux qui n’attendent pas le flash des appareils pour briller et faire rayonner la paix et la fraternité.
    Ce récit de voyage en trois volumes est une belle réussite artistique, entre photographie et bande dessinée. C’est également l’illustration d’une charité qui dépasse les frontières, les religions et les guerres. Il ne s’agit pas de lisser les différences, mais de les honorer pour mieux les respecter. de l’objectif à la plume, l’hommage est courageux et émouvant. »
    C’est dommage!

  48. Critique correctement rédigée mais c’est dommage que tu ne donnes pas ton avis général.

  49. Assez bon travail mais tu ne développes pas assez ton avis général sur le livre. Le résumé est beaucoup trop long.

  50. Bon travail.Bonne critique. Attention à l’orthographe.

  51. Bon travail. On comprend bien ton avis général. Il est bien justifié et argumenté.

  52. Très bonne critique. Attention à l’orthographe.
    « J’ aimerais bien savoir pourquoi certaine photos sont barrés avec ce que je pense être du sang »: je pense que comme il y a peu de couleur au niveau des photographies, je pense que l’auteur a voulu créer un effet de contraste avec le rouge vif qui fait penser au sang. C’est esthétique et cela rajoute du réalisme au côté « documentaire ».

  53. Bonne critique. Bon travail. Attention à l’orthographe.

  54. Bon travail de critique. Attention aux phrases trop longues et à l’orthographe.

  55. Bon travail de critique. Attention à soigner l’orthographe.

  56. Ta critique « s’inspire » beaucoup trop de celle de JamiK écrite le 08 mai 2017 sur ce site https://www.babelio.com/livres/Guibert-Le-Photographe-tome-1/1508/critiques : « jamiK
    jamiK 08 mai 2017

    Quelle idée originale de présenter un reportage photographique sous forme de bande dessinée !
    Il s’agit de l’histoire d’un reporter photo qui pendant la guerre d’Afghanistan (à l’époque de l’Union Soviétique) suit un convoi de MSF. Ce n’est absolument pas romancé, c’est du reportage pur et dur, sans concessions, et justement, le choix de le mettre en bande dessinée rend la lecture moins lourde, moins grave sans pour autant diminuer l’aspect terrible et dramatique de la situation de ce pays. C’est une histoire sans héros, qui raconte juste le quotidien de ces missions, n’omettant aucun détail sordide. D’une grande justesse…  »
    Dommage dommage…

  57. Bonne critique. Bon travail.

  58. Excellente critique! Excellent travail!

  59. Excellente critique! Bravo! Il y aurait matière à discuter pas mal.

  60. Excellente critique!
    « Cette BD me fait penser au livre « Une poignée d’étoiles » ( je pense que c’était le but recherché ) car les deux se passent dans des pays similaires et parlent de politique et de journalisme. »: oui, c’est exactement ça!

  61. Bonne critique. Attention toutefois à soigner davantage l’orthographe.

  62. Bonne critique. Attention aux erreurs d’inattention.

  63. Très bonne critique! Bon travail!

  64. Très bonne critique. Bon travail! Attention à l’orthographe.

  65. Beaucoup de tes arguments sont contestables.
    « Dans le photographe je n’est ressentie aucune émotion parce que il ne se passait rien d’intéressant, et je n’est pas compris l’histoire donc pour moi c’est une mauvaise BD. » Après ta lecture, as-tu cherché un peu à comprendre grâce au résumé?

  66. Bonne critique. Bon travail. Attention à l’orthographe.

  67. Très bonne critique très approfondie et bien rédigée. Bravo!

  68. Bonne critique. Attention à l’orthographe.

  69. Bon travail.
    « J’ai remarqué que sur certaines photos, il y avait un encadré rouge ou des photos barrés. Pourquoi? Le photographe a gardé toutes les les négatifs »: je pense que cela résulte du fait que l’auteur veut montrer que toute la bd est retravaillée et soumise à un travail de montage. Celui-ci survient en même temps qu’un retour sur les évènements qui ont eu lieu pour l’auteur.

  70. Bon travail. Rédaction correcte de la critique.

  71. Il faut approfondir ton avis en faisant référence à des passages précis du livre. Ta critique reste trop générale.

  72. Assez bon travail.
     » je ne vais pas juger l’histoire car ce livre est réelle et raconte la mission humanitaire de vrais humains. Juger la vie de quelqu’un d’autre ne se fait pas ce n’est donc pas ce que je vais faire, je vais juste donner mon avis sur la structure du livre et le fait dont le livre est raconter »: il ne s’agit pas de « juger » la vie des gens mais d’expliquer ce que la lecture du livre t’a apporté et ce que tu as pensé du graphisme de la bd.
    Il faut approfondir la partie où tu donnes ton avis.

  73. Ta critique manque un peu de précisions:
     » Durant ma lecture, j’ai fait beaucoup de liens entre les passages. » lesquels? Explique… développe
    « J’ai même était surprise que cela me plaise autant »: pourquoi?
    « Les auteurs ont vraiment fait un super boulot ! »: c’est à dire? explique ce qu’ils ont fait…
    « Ce concept de bandes-dessinées est hyper original. »: en quoi était-il original?
    « Contrairement a une poignées d’étoile, j’ai tout de suite accrocher avec l’histoire. »: pourquoi?

  74. Bon travail: ta critique est très bien rédigée et ton avis bien développé + illustré de passages précis. Bravo!

  75. Je n’ai pas du tout accroché à cette bande-dessiné je pense que c’est un sujet qui a été vu et revu c’est une histoire toute bête d’un photographe qui part avec MSF en Afghanistan et qui prend des photos de la population. Mais l’auteur a su être créatif en mixant bande-dessiné : la fiction et les photos : le réel.
    Ce livre ne pas vraiment interpellé mais plutôt raconté l’histoire d’un photographe ce qui est vachement banale.
    Et ce livre n’est pas super long à lire peut-être que l’auteur aurait du raconté son retour en France et la réaction des français je pense que ça aurait été beaucoup mieux pour l’histoire.

  76. Ensemble correct. Cependant:
    « Je n’ai pas du tout accroché à cette bande-dessiné »: c’est totalement ton droit
    « c’est une histoire toute bête »: peut etre qu’on peut trouver l’histoire « trop simple » ou « simplicite » mais l’expression « toute bête » est vraiment trop déplacée. En effet, ce n’est pas un photographe comme les autres. C’est un photographe journaliste « engagé » prêt à prendre d’énormes risques pour que les spectateurs/lecteurs prennent conscience de ce que vivent certaines populations.
    « vachement banale »: expression familière à éviter.
    « Et ce livre n’est pas super long à lire peut-être que l’auteur aurait du raconté son retour en France et la réaction des français je pense que ça aurait été beaucoup mieux pour l’histoire. »: ce livre est le premier tome d’une trilogie. Comme ce tome a eu l’air de te passionner, n’hésite pas à te procurer les autres ne serait-ce que par curiosité 😉

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